La formation mastère en environnement permet aux étudiants d’obtenir trois spécialisations, dont le management en environnement, le droit et l’ingénierie en environnement.

Quelles sont les conditions d’admission au mastère en environnement ?

Pour les étudiants qui veulent poursuivre leurs études au mastère en management, ingénierie et droit de l’environnement, les critères suivants sont à respecter :

Pour le mastère I, le candidat doit être titulaire d'un bac+3 (équivalant à 180 European Credit Transfer System dit ECTS) en Droit, en biologie, en géographie, en écologie, en aménagement, en sciences de la vie et de la terre, en sciences fondamentales et autres filières. Pour les universitaires titulaires de licence professionnelle en énergie renouvelable et efficacité énergétique de bâtiment (EREEB), d'un bac+3 en dépollution des sites pollués, ENR et bâtiment durable, manager de services à l’environnement, QHSE, gestion de déchets, sont aussi autorisés à s’inscrire pour la formation en master droit de l’environnement. En effet, les étudiants titulaires du diplôme de licence dans le domaine de l’environnement sont admis au master spécialisé environnement. Particulièrement pour les élèves qui ont complété leurs 180 ECTS, mais pas dans la liste citée ci-dessus, le dispositif dérogatoire leur permet de continuer leurs études en master de l’environnement à Paris.

Pour le mastère 2, évidemment, les étudiants qui viennent de valider les épreuves dans le master I sont accédés au master 2 droit de l’environnement. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à visiter le site institut-superieur-environnement.com

Pourquoi choisir la formation mastère en environnement ?

Le Mastère en Management, Ingénierie et Droit de l’Environnement fait partie des meilleurs Masters, MS et MBA en France selon le classement d’Eduniversal 2018. De plus, ce diplôme est certifié par le Parcours Formation durable. De ce fait, choisir le mastère en Management, Ingénierie et Droit de l’Environnement pour est un bon choix. De plus, les sortants ont obtenu 3 spécialisations après avoir suivi la formation pendant 24 mois, dont le droit de l’environnement, l’ingénierie de l’environnement et le management de l’environnement.

Le programme se fait par module et s’effectue en initiale ou en alternance. Durant ces 2 ans de formation de type initial, les étudiants doivent effectuer des stages tous les 10 mois. Il y a des réalisations de projets dans le domaine de l’environnement à la fin d’année de chaque niveau, ce qui permet aux apprenants de s’intégrer facilement dans le monde professionnel après leurs formations. En fait, après avoir suivi la formation master spécialisée en environnement, dans 6 mois, les sortants titulaires sont attribués à un poste pour un salaire d’embauche de 34 000 € dans une entreprise partenaire de l’institut. Cela représente ainsi une bonne raison de poursuivre ses parcours en mastère en environnement. 

Quels sont les débouchés de la formation mastère en environnement ?

Pour les grandes écoles, son objectif principal en concevant les 3 spécialisations pour ses étudiants est de leur former pour être capable de gérer juridiquement et techniquement les enjeux environnementaux dans une entreprise ou dans une organisation. Par exemple, la mise en place de développement durable, la conduite de projet, les études sur les systèmes de management environnemental, dont la sécurité, la qualité et l’énergie. La réalisation de stages obligatoires durant le parcours a pour but de diriger les apprenants dans le monde de travail pour qu'ils puissent révéler leurs compétences et leurs savoir-faire en master droit de l’environnement.

Quant aux débouchés, ils sont nombreux. De plus, les étudiants qui ont ses trois spécialisations à la fois sont très recherchés par les entreprises. Après le master 2 droit de l’environnement, les diplômés peuvent occuper un poste dans les domaines environnementaux et développements durables en tant que responsable RSE ; responsable qualité, sécurité et environnement ; chef de projet en éco-entreprise ; responsable du développement durable ou un consultant en réglementation environnementale.