La notion d’équicoaching intéresse toute entreprise concernant le management dans l’entreprise. Il y a beaucoup de choses communes entre les deux. On va les développer.
La conception du terme à l’origine
L’espèce animale est déjà créée plusieurs années avant celle de l’homme. L’apparition du cheval en fait partie, et fait penser encore au management par le cheval. Bien que ce dernier apparaisse plus avant, et bien qu’il ait déjà, en ce moment-là, la faculté d’utiliser ses capacités d’adaptation, l’homme parvient à le domestiquer plus tard. En effet, l’animal est censé être sous la domination, de manière à s’acquitter des travaux relatifs à la locomotion, à des tâches liées aux labeurs, voire à la compétition en rapport avec la loterie. Une équipe d’éthologues a mené des études concernant les comportements des espèces animales dans leur milieu naturel. Eux, ils ont constaté que, de par le cerveau des chevaux, des modes de relation peuvent se développer entre le cheval et l’homme. Ainsi, on applique ce mode de relation au management en entreprise. En parvenant à acquérir une bonne relation avec ses subordonnés, tout leader, notamment le manager, il doit être convaincu de l’efficacité de cette idée d’équicoaching. Comme le cavalier monte à cheval sans aucune peine, après un petit entretien amical avec l’animal, tout leader doit agir ainsi avec ses subordonnés. Cette prise de mesure favorise davantage le domaine de la relation au sein de l’entreprise. Vous pouvez voir ce site pour en savoir plus sur ce sujet.
Pourquoi doit-on choisir le cheval comme base d’étude ?
Pour le cheval, c’est le cerveau limbique qui est le responsable de la conception de sa pensée. Tout vient de cette sorte de moteur. Cet animal devient le sujet adéquat pour l’expérience, vu qu’il est vraiment parfait à l’idée d’intuition. Contrairement à l’homme, lui, il agit par raisonnement ; ce que le cheval n’y aboutit jamais ! Toutefois, pour ce dernier, en ce qui concerne les émotions, cet animal en est doté, mais en quantité dérisoire. Quoi qu’il en soit, c’est vraiment l’animal adéquat pour une communication avec l’homme. Peut-être, se demande-t-on la cause de ce fait. Eh bien, le fonctionnement du cerveau limbique en est la cause. Le cheval est bien sensible et très apte à lire son environnement. En outre, il parvient à capter facilement et par instinct les émotions de ses congénères ou de celles de l’homme. Cet animal renvoie des signes significatifs sous forme de signaux afin de prévenir l’homme de ce qu’il veut lui communiquer. Outre cela, à titre de comparaison, une équipe de chercheurs de l’université du Sussex parviennent à découvrir que les chevaux ont la faculté d’exposer des mimiques différentes beaucoup plus que celles des chimpanzés ou celles des chiens. Cela engendre toujours l’idée d’equicoaching applicable dans l’entreprise.
La relation entre « l’équicoaching » et « le management en entreprise »
L’équicoaching, appelé encore horse coaching, s’avère une technique permettant de nouer une relation entre l’homme et le cheval, laquelle peut être applicable dans l’entreprise pour y épanouir le leadership. Donc, cette position se repose surtout dans le cadre fonctionnel. Le management se puise de cette idée d’équicoaching touchant la relation entre manager et subordonnés. Le rôle principal d’un manager est de concevoir alors ce que ressentent ces derniers, tout comme un cavalier se rendant compte de ce que ressent son cheval en se basant sur sa mimique. En se livrant au rapprochement d’idée, le management est l’ensemble des théories appliquées entrant dans le domaine de la gestion de l’administration d’une entreprise quelconque, mais aussi celle d’un établissement scolaire faisant naître l’idée de mgen ou mutuelle générale pour l’éducation nationale. Les éléments constitutifs comprennent le leader d’une part, les subordonnés d’une autre part. En bref, le management est l’art de diriger pour parvenir au rendement optimal et satisfaisant. L’aboutissement à ce stade nécessite la pratique de l’équicoaching en relation avec le management dans toute entreprise.
